Blog

Tout savoir sur la VMC

La Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC) est un élément essentiel pour garantir la qualité de l’air dans une maison.

La mérule

Le type de mérule la plus courante dans notre région

5 petits points utiles à ne pas oublier pour sa construction

5 petits points utiles à ne pas oublier pour sa construction Le projet de faire construire nécessite de penser à beaucoup de choses à la fois, et ce, à chaque étape de la construction. Il n’est pas évident de ne rien oublier et on peut ressentir la sensation d’avoir oublié quelque chose, difficilement réversible, que l’on pourrait regretter une fois emménager dans la maison… Voici alors un petit mémo des 5 points à vous assurer pour tenter de réussir au mieux votre futur nid douillet ! 1- Des prises électriques, des interrupteurs, des prises audio, TV… Le plan électrique, tout un art… Il va vous falloir faire preuve de beaucoup d’imagination et d’une projection la plus précise pour placer chaque prise et interrupteur aux endroits les plus opportuns pour optimiser l’éclairage et le branchement de vos appareils actuels et à venir. Vous devez pour cela bien déterminer l’emplacement de vos équipements électriques et prévoir vos futurs déplacements entre les pièces de la maison. 2 – Des câblages pour la domotique, une alarme, des volets roulants… Pour des raisons de budget, vous allez peut-être faire le choix de remettre à plus tard certaines installations. Aussi, pour une faible plus-value, vous aller pouvoir préparer les choses pour vous éviter des travaux coûteux et « disgracieux » le moment venu. C’est notamment le cas pour le passage de câbles pour la mise en place de la domotique, d’un système d’alarme, des commandes de volets électriques… 3 – Une alimentation électrique extérieure Les extérieurs méritent également toute votre attention. En effet, en prévision de vos futures activités en terrasse ou dans le jardin, il vous faudra avoir penser à l’installation électrique pour différents éclairages, des prises pour l’alimentation de vos appareils et équipements électriques (portail, tondeuse…), le branchement de votre Jacuzzi, etc. 4 – Un robinet extérieur pour arroser le jardin On reste dans le jardin avec ce qui concerne l’arrosage. Vous allez probablement semer de la pelouse, planter des arbres, vous occuper d’un potager, etc. Vous avez tout intérêt à y installer un robinet pour amener l’eau là où vous en aurez besoin. Vous pouvez même aller jusqu’à prévoir les canalisations pour la mise en place d’un arrosage automatique ! 5 – Des moustiquaires au niveau des ouvertures Si vous habitez une région où l’on peut être embêté par les moustiques, il peut être judicieux de choisir des menuiseries munies de moustiquaire intégrée. Aussi, pensez aux moustiquaires anti-pollen si vous souffrez d’allergie ! Vous pourrez ainsi profiter de la fraîcheur des nuits d’été avec la fenêtre ouverte, sans vous souciez de vous faire piquer ou ne pas bien dormir à cause des « bzzzzzzzzz » ! « Vous avez besoin d’un expert pour vous accompagner dans votre projet de construction ? Contactez un maître d’œuvre, FURIGA John est là pour vous aider ! »

10 pièges à éviter avant d’acheter un terrain à bâtir

10 pièges à éviter avant d’acheter un terrain à bâtir Avant d’être bien installé dans sa maison neuve, il faut avant tout se sentir bien sur son terrain après s’être assuré de tout un ensemble d’éléments juridiques, environnementaux, financiers… Il n’est pas question de subir les conséquences et d’avoir des regrets dans le choix du terrain après la construction. Voici alors 10 points à contrôler, pour être sûr dans l’acquisition de sa parcelle en évitant certains pièges : Les réglementations d’urbanisme En premier lieu, vous devez contacter le service d’urbanisme de votre mairie pour vous assurer que le terrain est bien constructible. Grâce au Plan Local d’Urbanisme (PLU ou PLUi), vous connaîtrez la zone où il se situe et savoir s’il est possible d’y bâtir une maison et sous quelles réglementations (surfaces, distances, étage, matériaux…) grâce notamment au Certificat d’Urbanisme (CU). Profitez-en aussi pour consulter le cadastre pour s’assurer de ses limites de propriété (bornage) et prendre connaissance de la présence ou non de servitudes privées (droit de passage, accès à la voie publique, etc.). Demandez également si votre terrain est concerné par des servitudes d’utilité publique, à savoir des projets de voiries, de transports en commun, de bâtiments… qui pourraient vous dissuader de son achat. Les risques naturels et technologiques Attention votre parcelle est peut-être exposée à : Des risques naturels tels que les inondations, les tremblements de terre, les avalanches… Ou des risques technologiques tels que la pollution du sol, la toxicité d’une usine à proximité… Pour le vérifier, visitez le site du ministère de l’écologie, en recherchant votre commune, vous pourrez connaître les informations sur les différents risques afférents au terrain. A noter que lors de l’achat du terrain devant le notaire, le vendeur est contraint de vous transmettre son Etat des Servitudes Risques et Informations sur les Sols (ESRIS) qui identifie les risques naturels et technologiques (en plus de l’état parasitaire s’il est situé en zone « termitée »). La surface, l’orientation, l’inclinaison et la nature du terrain Outre la partie juridique et légale, l’état physique de la parcelle est extrêmement important. Tout d’abord la surface et l’orientation de la parcelle définiront la superficie et l’exposition de vos futures pièces à vivre. Vous devrez bien prévoir vos ouvertures pour faire une maison bioclimatique et imaginer les accès à vos extérieurs côté jardin ou côté rue. Il vous faudra également bien penser à la réalisation des fondations en fonction de la pente du terrain et sa nature géologique. A cause d’une inclinaison trop importante ou un sol difficile (argile, calcaire, etc.), vous serez probablement contraint de construire la maison sur des fondations spéciales et prévoir un budget plus important que prévu. Soyez alors vigilant lors de la visite des terrains. La récente loi Elan rend l’étude de sol obligatoire. C’est désormais au vendeur du terrain de fournir cette étude géotechnique et de l’annexer à la promesse de vente. Les nuisances : bruits, odeurs, ondes, pollution… Pas forcément perceptibles à la première visite, le terrain peut pourtant présenter des nuisances à certains moments de la journée ou de la semaine. Cela peut être notamment le bruit à cause d’une route passante, de la voie ferrée, d’une usine ou même de voisins indésirables ! Cela peut être aussi les odeurs provenant d’une station d’épuration, d’une usine, d’une ferme… Enfin, des nuisances plus polémiques concernant les ondes des antennes téléphoniques ou les produits / déchets déversés par les entreprises / exploitations agricoles, auxquelles vous pouvez être sensible. Il ne peut être que recommandé de visiter plusieurs fois la parcelle, avant de s’engager, et ce à plusieurs heures de la journée et différents jours (en semaine et le week-end). N’hésitez pas également à vous balader dans les environs et questionner le voisinage pour vous donner une vision claire de l’environnement de votre future habitation. Les distances Il est important de considérer les distances qui vous sépareront entre votre futur domicile et les différents lieux que vous fréquentez régulièrement. A savoir votre lieu de travail, votre salle de sport, les écoles de vos enfants, les services médicaux, les commerces… Pour se faire une idée nette et précise, rien ne pourra remplacer un trajet dans les conditions réelles aux heures de pointe pour vous assurer de la viabilité de votre projet sur tel ou tel terrain. Le vis-à-vis La distance avec vos voisins ou futurs voisins est un élément à prendre en compte dans la sélection de votre terrain à bâtir. Il pourra être rédhibitoire d’avoir votre pièce de vie ou votre terrasse à la vue des baies vitrées ou des balcons des résidents d’à côté. Veillez donc à bien imaginer l’implantation de votre future maison sur la parcelle en fonction des constructions existantes et à venir. La viabilisation Votre terrain doit absolument être viabilisable d’un point de vue technique, c’est-à-dire qu’il dispose des différents raccordements (eau, électricité, gaz, téléphone, etc.) accessibles au niveau de votre rue, mais également d’un point de vue financier. En effet, un terrain non viabilisé dans un secteur isolé, implique des travaux de raccordement qui peuvent s’avérer très conséquents s’il est trop éloigné des réseaux en question. Prenez alors le soin de vérifier les différents branchements accessibles près du terrain, quitte à faire faire des devis auprès des services compétents pour avoir une vision claire du budget de la viabilisation. Les aménagements à prévoir La parcelle que vous envisagez peut ne pas être constructible sans des travaux d’aménagements. Cela peut être dû à une marre à reboucher, des arbres à démonter, des pierres à dégager, des dépendances à démolir… Vous ne devez pas sous-estimer ces différents aménagements qui peuvent plomber votre budget pour la construction. Il est important de faire chiffrer les différents travaux nécessaires. Vous serez alors conscient du surcoût engendré et définir si l’achat est envisageable ou non. Le prix du marché Avant de faire une proposition sur le premier terrain convoité, vous devez avoir étudié la valeur des terrains dans le secteur recherché. En effet, vous devez savoir si le prix affiché est dans …

10 pièges à éviter avant d’acheter un terrain à bâtir Lire la suite »

Coût global d’une maison

Coût global d’une maison Le coût global d’un projet de construction c’est l’enveloppe financière totale du projet. Autrement dit, tout ce qu’il faut prendre en compte. Le coût global est souvent calculé de la manière suivante : Coût global = coût d’acquisition du terrain + coût de la construction Or, il faut être vigilent car quelques frais annexes (et variables) viennent s’ajouter à ce total et peuvent contribuer à l’augmentation du budget initialement prévu. En voici quelques exemples ci-dessous Les frais liés à l’achat du terrain et au terrassement – Frais de notaire – environ 8% du coût du terrain – Viabilisation et raccordement aux réseaux (eau, télécommunication, électricité) – A chiffrer précisément en fonction de votre terrain – Etude de sol (environ 1300€ Si G2 AVP pour le dimensionnement des fondations), – Étude structure (entre 1000€ et 3000€ suivant la complexité du projet et suivant le résultat de l’étude de sol) Les frais divers – Assurance Dommage Ouvrage (entre 2 et 3% du coût de la construction), – Taxe d’aménagement – entre 3000 et 8000 € TTC (en fonction des communes) – Système d’assainissement individuel (si absence de « Tout à l’égout ») – environ 8000 € TTC – Ouverture des compteurs (eau, électricité) – environ 1500 € TTC – Assurance multirisques habitation – environ 200 € TTC /an Les frais de finitions – Ameublements – Cuisine équipée – De 2000 € à 10000 € TTC (voire plus) – choix esthétiques et techniques « particuliers » tel l’exemple d’un nombre conséquent de portes à galandage ou encore des revêtements aux prix excessifs Les frais liés aux abords – Aménagement du terrain – Engazonnement – 3 € TTC/m2 – Graviers pour protection des enduits (autour de la maison) – environ 500 à 1000 € TTC – Plantations Il existe un certain nombre de frais à prendre en compte pour ne pas avoir de surprises en termes de financement. Contactez notre cabinet de maitre d’oeuvre FURIGA John, nous partagerons avec vous toutes les informations que nous avons !

La déclaration préalable de travaux

La déclaration préalable de travaux Quels sont les projets soumis à une déclaration préalable de travaux ? Avez-vous besoin d’une déclaration préalable ou d’un permis de construire ? nous vous présentons l’essentiel des réponses pour lancer vos travaux sur les chapeaux de roues.² Quels travaux exigent une déclaration préalable ? Cette formalité administrative concerne les travaux de faibles ampleurs. Elle est obligatoire pour la majorité des travaux suivant : – AGRANDISSEMENT, SURÉLÉVATION, GARAGE, VÉRANDA… Pour la création de surface nouvelle jusqu’à 20m² d’emprise au sol ou 40m² de surface si l’on inclus les surfaces de plancher d’étage. Au-delà, déposer un permis de construire est obligatoire. Attention : Si l’agrandissement porte la surface totale du bien à plus de 150m², un permis de construire et le recours à un Architecte sont impératifs. – MODIFICATION DES FAÇADES ET/OU DU TOIT Pour tout changement sur la façade ou le toit : création de nouvelles ouvertures, modification des menuiseries, modification du toit, pose de fenêtre de toit, création d’un appentis … Attention : le remplacement de menuiseries par des menuiseries identiques ne requiert pas de déclaration préalable. – CHANGEMENT DE LA DESTINATION DE LA CONSTRUCTION Pour transformer un local commercial en habitation, un garage en chambre supplémentaire… – CONSTRUCTION D’UNE PISCINE Pour toutes les piscines de surface inférieure à 100m² non couvertes ou couvertes d’un abri de hauteur inférieure à 1m80. – CONSTRUCTION DE MUR ET RAVALEMENT DE FAÇADE Pour la construction de mur de plus de 2m de hauteur. En site classé, qu’importe la hauteur du mur, la déclaration préalable est obligatoire. Dans certaines communes le ravalement des façades est soumis à la déclaration préalable de travaux. – CUMUL DE TRAVAUX Le cumul de travaux peut entraîner l’obligation de déposer un permis de construire. Ex : Modification des façades et/ou du toit + Changement de destination = Permis de construire Changement de destination + modification de la structure porteuse = Permis de construire En tout état de cause, vous pouvez (devez) vous renseigner auprès des services de l’urbanisme de votre commune avant de lancer vos travaux. Votre parcelle ou votre bien peut être soumis à un plan local d’urbanisme. Ce document de référence comporte parfois des restrictions ou spécifications et édicte des règles que votre projet doit strictement respecter. Nous sommes là en tant que maître d’œuvre en Alsace pour vous accompagner et vous aider dans vos démarches.

La domotique : rendre votre maison intelligente?

La domotique: rendre votre maison intelligente ? Domotique, « maison connectée » ou encore « maison intelligente », sont des termes synonymes de plus en plus à la mode. Pourtant, pour beaucoup encore, la domotique reste un sujet obscur. Difficile pour certains de comprendre les contours et les avantages que cette technologie peut apporter. Qu’entend-on par domotique ? Ainsi, la domotique rassemble l’ensemble des techniques telles que l’électronique, la physique du bâtiment, l’automatisme, l’informatique ou encore les télécommunications. Ces techniques, utilisées dans les bâtiments, permettent la centralisation et le contrôle des différents équipements de la maison (chauffage, volets roulants, porte de garage, portail d’entrée, prises électriques, éclairage…). De manière générale, la composition d’un système de domotique est la suivante : – Une centrale de commande (ou box domotique) : c’est le cerveau du système. Elle analyse les informations qu’elle reçoit des périphériques. Selon le résultat, elle active ou désactive les équipements. – Les capteurs : ils ont pour fonction de relever les informations telles que la température, l’humidité, les mouvements, la consommation d’énergie, la luminosité… – Les actionneurs : ils servent à piloter les équipements, appareils ou automatismes. Ils seront enclenchés par la centrale de commande en fonction de l’état des capteurs. Faire le choix d’une solution de domotique Pour bien choisir votre solution de domotique, il faut d’abord définir clairement vos besoins. S’agit-il d’améliorer la gestion du chauffage, de l’éclairage, des appareils culinaires, de l’arrosage, de la sécurité, du suivi des consommations d’énergie ? S’agit-il d’assister des personnes en situation de handicap ? Bien définir l’objectif souhaité permet de trouver la ou les solutions adéquates. Nous vous avons listé ci-dessous quelques applications (simples). Pour faire des économies d’énergie : – Baisser les volets au moment opportun de la journée pour garder la fraicheur en été ou éviter de perdre la chaleur en hiver – Faire fonctionner certains équipements quand l’énergie est moins chère (en heure creuse) Pour gagner du temps au quotidien (plus de confort) : – Mettre en route une machine à laver depuis son lieu de travail pour pouvoir l’étendre en arrivant à la maison – Éteindre toutes les lumières sans se déplacer d’une pièce à l’autre – Faire la liste des courses Pour mettre en sécurité votre maison : – S’assurer que l’ensemble des ouvertures de la maison (fenêtre et portes) soient bien fermées avant de partir – Visualiser ce qu’il se passe dans la maison grâce à des caméras Pour prendre soin de votre famille : – Savoir si vos enfants sont bien rentrés – Ouvrir la porte de la maison à distance – Contrôler les connexions multimédias Pour entretenir votre maison et votre jardin : – Lancer l’aspirateur de la piscine – Arroser vos plantes à la tombée de la nuit ou avant le lever du soleil Ils existent des solutions spécialisées et d’autres plus généralistes qui peuvent relier de multiples capteurs. Autre choix important avant de souscrire à une solution de domotique : comment gérer la mise en réseau (communication) entre la centrale, les capteurs et les actionneurs ? Deux solutions existent pour la mise en réseau d’un système de domotique : – La domotique filaire : très fiable et adaptée aux maisons neuves car les informations passent par un câble (fil électrique) mais plus couteuse en fonction des marques et des produits. – La domotique sans fil : simplifiée par rapport au tirage de câbles (système filaire). Le changement de piles sur certains produits et le rayonnement des ondes peuvent être des inconvénients. Le prix d’un système de domotique La centrale (box) qui pilote la maison est l’appareil le plus important. Aujourd’hui, il existe des box allant de 150 à 600€ environ (prix « public »). Le prix n’est pas spécialement un gage de qualité… Ensuite, le budget va surtout dépendre du nombre de périphériques mis en place et de la technologie utilisée (filaire ou sans fil). Trois principaux avantages de la domotique La domotique améliore le confort quotidien. Un système domotique peut, par exemple, gérer la température en fonction des préférences de chaque occupant de la maison. Les réveils de chacun peuvent être « adoucis » grâce à un éclairage agréable (et automatisé). La machine à café (connectée) peut anticiper le réveil et commencer la préparation du petit-déjeuner. La domotique favorise l’économie d’énergie. Un système de domotique peut permettre de suivre la consommation d’énergie. Il est possible de contrôler la consommation d’eau, de gaz et d’électricité et de l’adapter automatiquement aux consignes météorologiques (températures). La domotique contribue à la sécurité de votre maison. Caméra de sécurité connectée, simulation de présence, détection incendie sont autant d’avantages que peut gérer un système de domotique dans votre maison connectée. En choisissant de faire construire votre maison, vous avez la possibilité de prévoir les équipements et le système de domotique au plus tôt. Parlez-en avec votre maître d’oeuvre FURIGA John.

La Véranda

La Véranda Véritable pièce en plus, la véranda fait entrer la lumière et la nature dans la maison. Dans un style contemporain, carrément 1900 ou plutôt industriel, la véranda demeure une véritable valeur ajoutée pour une maison. Ravissante par son architecture, cette extension peut devenir un jardin d’hiver, un salon, une cuisine et même une chambre. Ajoutez à cela sa vue sur le jardin et sa luminosité, et on comprend tout de suite pourquoi on rêve tous d’en avoir une ! Quelle réglementation pour la création d’une véranda ? La véranda est une extension qui permet d’agrandir sa maison facilement tout en lui apportant du style et de la lumière. Mais comme toute extension qui modifie l’aspect extérieur, elle est soumise à des règles indispensables à respecter sous peine de sanctions, voire de démolition. Une déclaration préalable de travaux sera donc nécessaire, qu’il faudra compléter avec un permis de construction si la surface au sol dépasse les 20m2. Attention également aux ouvertures. Si la vue ne donne pas chez nos voisins, on sera libre de les façonner à notre goût. En revanche, pour des fenêtres orientées vers la maison d’à côté, on sort notre mètre. En effet, en cas de vue directe, on respectera impérativement un minimum de 1,90m entre l’extérieur de l’ouverture créée et la limite du terrain limitrophe. En cas de vue indirecte nous obligeant à nous pencher pour voir chez les voisins, la distance est réduite à 60cm. Afin de connaître toutes les subtilités liées à notre commune, ne pas hésiter à se renseigner auprès de la mairie. Comment aménager sa véranda ? Qu’elle date de la construction de la maison ou qu’elle soit une extension plus récente, il faut suivre quelques règles lors de l’aménagement de sa véranda. On pense à bien coordonner le style ou les couleurs entre la nouvelle pièce et les existantes, afin d’harmoniser l’ensemble. Comme tout espace faisant le lien entre l’intérieur et l’extérieur, on porte une attention particulière au sol. On le préfèrera facile d’entretien et peu salissant. On ne fait pas l’impasse non plus sur le choix des ouvertures. Fenêtres hautes, verrières style atelier d’artiste, portes-fenêtres coulissantes ou à galandage, portes vitrées simples… guideront naturellement la façon d’agencer l’espace pour ne pas gêner les passages ou obstruer la vue. Côté déco, le mobilier en rotin, les fibres naturelles et l’accumulation de plantes apporteront une ambiance jardin d’hiver réconfortante. Envie de modernité ? On mise sur des meubles design et des menuiseries noires pour un effet maison d’architecte.

Les différences entre un parquet stratifié classique et les sols LVT

Les différences entre un parquet stratifié classique et les sols LVT Par rapport aux parquets traditionnels, les stratifiés et les sols LVT ont de nombreux atouts. Ils offrent tous deux une pose facile, maintes possibilités de motifs, un entretien facile et un prix plus abordable. Mais la question est de savoir quelles sont les différences entre un sol LVT et un parquet stratifié. Le stratifié est apparu comme une alternative intéressante aux parquets en bois qui sont à la fois difficiles à poser, coûteux et limités dans leurs motifs. Il a connu un essor très remarquable dans les années 90, parce que le stratifié offre une pose plus facile, un prix moins cher, et une richesse de ses gammes. Concrètement, le stratifié est composé d’overlay, une résine protectrice pour la couche d’usure, de feuille de décor en papier mélaminé, d’un panneau HDF, d’un contrebalancement qui vient renforcer la stabilité. Éventuellement, une sous-couche acoustique peut s’ajouter dans cette composition. Contrairement aux parquets stratifiés, les sols LVT sont faits en vinyle. Ils sont également appelés « dalles en vinyle de luxe » ou encore « sol en structure à base de PVC ». Mais si les sols vinyles sont souvent disponibles en rouleaux, les sols LVT se présentent sous forme de dalles ou de lames. Ce type de revêtement de sol LVT est en plein essor et d’ailleurs, il fait partie des sols tendance en 2020. Pour cause, c’est une alternative pratique et solide aux parquets stratifiés et aux parquets en bois dur. En effet, les sols LVT sont composés d’un traitement de protection, d’une couche d’usure, d’un décor, d’une couche en fibre de verre (pour assurer la résistance), d’une couche centrale calandrée en PVC, et éventuellement d’une sous-couche acoustique. La question de trafic et d’acoustique: une autre différence majeure entre un parquet stratifié et un sol LVT Il convient de noter que les sols stratifiés conviennent aux pièces à vivre à faible trafic étant donné qu’ils sont moins résistants et très sensibles à l’humidité. Pour les pièces humides ou à fort trafic, il vaut mieux orienter votre choix vers les sols LVT. Grâce à leur composition en PVC, ces derniers présentent une meilleure résistance et une grande stabilité. En ce qui concerne l’isolation phonique, les LVT offrent plus d’avantages par rapport aux parquets stratifiés classiques. Leur structure confère une meilleure qualité d’amortissement. Cependant, il semble important de souligner que le parquet stratifié présente une isolation phonique perfectible. Le reste n’est qu’une question de design… À part ces deux points énoncés plus haut, il n’y a plus de différence notable entre le parquet stratifié et le sol LVT. Les fabricants de ces deux types de revêtement de sol proposent sans cesse des gammes variés aussi bien au niveau des couleurs qu’au niveau des motifs imitation bois, pierre, béton… En ce qui concerne leur format, bien que les dalles existent en stratifié, la plupart des offres sont en lames avec des dimensions similaires. Ce qui n’est pas le cas en sol LVT, parce que vous avez des choix variés en matière de dimensions et de mode de pose, adapté en fonction de chaque besoin.

Le rôle du SPANC

Le rôle du SPANC L’assainissement non collectif (ANC) Si vous faites construire votre maison sur une parcelle qui ne peut pas être raccordée au tout à l’égout (réseau d’assainissement public), vous êtes dans l’obligation de réaliser un Assainissement Non Collectif (ANC) ou assainissement autonome. Autrement dit, vous devez traiter les eaux usées directement sur votre parcelle. Il existe plusieurs typologies d’installations d’Assainissement Non Collectif (puit perdu, épandage, microstation, prétraitement avant rejet dans un réseau d’eaux pluviales…). La liste des dispositifs de traitement agréés et les fiches techniques correspondantes sont publiées au Journal Officiel de la République Française par avis conjoint du ministre chargé de l’écologie et du ministre chargé de la santé. La mission du SPANC SPANC est l’abréviation de : Service Public d’Assainissement Non Collectif. Le SPANC est un service public local chargé de conseiller les particuliers au sujet de leur Assainissement Non Collectif, et de procéder au contrôle des installations. Un contrôle est réalisé sur une nouvelle installation (lors de la construction), mais également de façon périodique, dans le temps, afin de vérifier leur bon fonctionnement, la fréquence de l’entretien, et surveiller d’éventuels risques de pollution. Ce sont les communes qui ont la compétence en matière de traitement des eaux usées. Elles peuvent déléguer cette compétence à une communauté de communes, une agglomération ou encore à un syndicat intercommunal. Dans tous les cas, il est recommandé de se rapprocher des services de votre mairie pour entrer en contact avec le bon interlocuteur. Le contrôle d’une nouvelle installation Dans le cas d’une nouvelle installation, le SPANC procède à un examen au moment de la conception (avant le dépôt du Permis de Construire) puis à une vérification après exécution des travaux. Dans le cas d’un Assainissement Non Collectif, le dossier de Permis de Construire doit comporter un document (remis par le SPANC) attestant de la conformité du projet d’installation au regard des prescriptions réglementaires. La vérification de conception et d’exécution consiste à caractériser les dispositifs constituant l’installation, vérifier l’adaptation de la filière réalisée aux contraintes liées au terrain (notamment environnementales) ou encore vérifier le respect des prescriptions techniques réglementaires. A retenir – Si votre parcelle nécessite la mise en œuvre d’une installation d’Assainissement Non Collectif, vous devez consulter votre SPANC (en vous rapprochant de votre mairie). La mission du SPANC sera de vérifier la conformité de votre installation dès le dépôt du Permis de Construire. – Attention, vous devez signaler la fin des travaux de mise en œuvre de votre installation d’assainissement au SPANC qui doit en contrôler la bonne exécution, avant le recouvrement de l’installation.

Qu’est-ce que le radon ?

Qu’est-ce que le radon ? Le radon est un gaz radioactif naturel inodore, incolore et inerte, présent partout à la surface de la planète. Il est produit par la désintégration du radium issu lui-même de la famille de l’uranium, présent partout dans les sols et plus fortement dans les sous-sols granitiques et volcaniques. Secondairement, il peut aussi provenir de matériaux de construction et de l’eau. Depuis le sous-sol, le radon peut pénétrer dans les bâtiments et s’y accumuler. Le niveau moyen de radon dans l’habitat français est inférieur à 100 Bq/m3. Néanmoins, il existe une grande variabilité de niveau de radon d’un habitat à l’autre, même s’ils sont situés à proximité, en fonction notamment des caractéristiques techniques du bâtiment. – Les effets du radon sur la santé humaine Alors que les effets de nombreuses substances chimiques sur la santé humaine n’ont pas encore été évalués, les effets du radon sont eux connus. Le radon est un cancérogène pulmonaire certain pour l’homme (classé depuis 1987 par le centre international de recherche sur le cancer – CIRC, organisme de l’Organisation Mondiale de la Santé). – Recommandations pour la prévention de l’exposition au radon dans les bâtiments La pénétration du radon dans les bâtiments résulte de paramètres environnementaux (concentration dans le sol, perméabilité et humidité du sol, présence de fissures ou de fractures dans la roche sous jacente) mais aussi des caractéristiques propres au bâtiment (procédé de construction, type de soubassement, système de ventilation, …) ainsi que les conditions climatiques et des habitudes de vie. Il pénètre dans les bâtiments par les fissures du sol, les joints de construction, les fissures des murs, les parois des étages, les équipements sanitaires, les approvisionnements d’eau,… Plusieurs méthodes existent pour diminuer la concentration en radon dans un bâtiment. Au préalable, il est essentiel de connaitre les niveaux de radon pour adapter les mesures de remédiation. – La mesure du radon Faire une mesure du radon est le seul moyen de connaitre son exposition. Cette mesure est simple et peu coûteuse. Il est possible de réaliser la mesure soi-même ou de la faire réaliser par un bureau d’étude qui pourra proposer d’autres prestations complémentaires (diagnostic, propositions d’actions correctrices). Elle s’effectue à l’aide d’un dosimètre radon. – Méthodes de remédiation Plusieurs méthodes existent pour diminuer la concentration en radon dans un bâtiment. Elles visent à mettre en place « une barrière » contre le radon ou à évacuer l’air vicié en radon. Elles consistent : – à assurer l’étanchéité des sous-sols, des vides sanitaires, des murs, des planchers et des passages de canalisation ; – ventiler le sol en dessous du bâtiment et les vides sanitaires ; – aérer les pièces en mettant en place, le cas échéant, un système de ventilation mécanique double flux (entrée-sortie). L’Isère n’est pas la région la plus impactée mais il convient de prendre quelques précautions.

Quels sont les différents types de charpente ?

Quels sont les différents types de charpente ? Au regard des nombreux rôles que joue une charpente dans la solidité et l’esthétique d’une maison, il est tout à fait légitime que vous cherchiez à connaître les différents choix qui s’offrent à vous. Retenez que la classification des charpentes se fait d’une part en fonction du matériau et d’autre part en fonction de la configuration. Maîtriser les implications du choix de l’un ou de l’autre est important avant toute pose de charpente. Types de charpente : quel modèle choisir ? Les deux premiers sont les plus courants : il s’agit de la charpente traditionnelle et de la charpente à fermettes (également appelée charpente industrielle). La troisième est beaucoup plus rare : c’est la charpente en lamellé-collé. Types de charpente : pour quel matériau opter ? Outre les modèles de charpente, il vous faudra sélectionner le matériau qui composera votre charpente. Si le bois est le plus souvent plébiscité pour ses qualités isolantes, sa résistance, sa chaleur, il existe deux autres matériaux qui méritent d’être considérés : Ces deux matériaux ne sont pas très courants en France et ne sont que très rarement proposés.

Quelle différence entre fenêtre PVC et fenêtre ALU ?

Quelle différence entre fenêtre PVC et fenêtre ALU ? Les progrès dans le domaine des fenêtres sont remarquables et portent notamment sur les différents types de matériaux. Chacun offre désormais d’excellents niveaux de performance thermique, phonique, de durabilité sans rien enlever à leur capital esthétique. Pour installer une fenêtre dans une construction neuve ou une fenêtre de rénovation, ou même une fenêtre de toit, un choix se pose. Pour vous guider dans votre achat, voici un petit comparatif fenêtre PVC et ALU. LE PVC EST LE MATÉRIAU LE PLUS UTILISÉ POUR LA FABRICATION DES FENÊTRES – Un isolant remarquable Question isolation, c’est le matériau roi. Il répond aux besoins actuels de confort et d’isolation. En neuf comme en rénovation, il se conforme aux exigences en termes d’environnement, d’étanchéité et de durabilité. – De larges possibilités architecturales Il s’adapte aux besoins pour répondre aux demandes les plus exigeantes. Si vous vous demandez quelle fenêtre choisir en rénovation, c’est le matériau idéal. Les ouvrants peuvent être installés sur la structure d’origine. La pose d’une fenêtre de rénovation n’exige pas de modifier les murs existants ce qui réduit d’autant le temps des travaux. LES FENETRES EN ALUMINIUM, DES PRODUITS DANS L’AIR DU TEMPS Matériau noble, l’ALU est devenu tendance et habille des menuiseries, et tout particulièrement les fenêtres qui conjuguent confort, sécurité et esthétisme.- Des performances techniques reconnues. L’ALU, conducteur du chaud et du froid, nécessite que les profilés soient équipés de système de rupture de ponts thermiques pour éviter la condensation et le ruissellement de la pluie. Ils sont donc aujourd’hui parfaitement isolants et respectent la réglementation en vigueur (norme RT 2012). La pose de fenêtre en applique supprimera également ces ponts. L’ALU résiste aux variations climatiques et ne craint pas la corrosion. Les profilés alu font l’objet d’un double traitement (préanodisation + thermolaquage) qui renforcent leur protection contre la corrosion.- La perfection esthétiqueMatériau extrêmement résistant, par nature souple et robuste, l’ALU se prête à tous les effets et exigences esthétiques, autorise toutes les fantaisies en termes de dimensions, de formes, de couleurs, d’accessoirisation… Avantages et inconvénients PVC Avantages et inconvénients ALU

Retour en haut